[abonnement gratuit]
votre avis
Vous utilisez un de ces appareils
en êtes satisfait ou pas,
merci de nous envoyer vos
commentaires.
|
|
Minolta
DiMâge Scan Multi Pro :
scanner professionnel du 24x36 au 120
Scanner de film professionnel permettant
l'acquisition du 24x36 au 120.
Ce scanner de haut de gamme peut recevoir également, grâce à des
accessoires optionnels, des films 16mm, minox, 24x65 ou microfilms.
Mise au point autofocus débrayable en manuel.

Caractéristiques Techniques
Scanner de film professionnel. Barreau tri-CCD de 7260 pixels
fournissant une résolution réelle de 4800x4800ppp en 135 et
3200x4800ppp en 120 (cela permet de tirer des scans 24x36 en A3 à
400 ppp ou des scans 6x9 en A2 et 600ppp)
Densité : 4,8. Un mode multi-sample en 2, 4, 8 ou 16 passes permet
de réduire le bruit dans l'image en faisant une moyenne sur
plusieurs scans. Matériel connectable au choix en SCSI ou Firewire.
Prix : 3796 € (prix octobre 2001). Appareil en
concurrence avec le Nikon CoolScan 8000
www.minolta.fr
Bibliographie :
article de Guy
Michel Cogné dans Chasseur d'Images n°238 de Novembre 2001, page
176
L'auteur compare ce scanner au Nikon
coolscan 8000 en laissant le lecteur tirer les conclusions de
quelques observations qu'il fait :
- le scanner utilise les logiciels : ICE, ROC, GEM, comme le Nikon.
- on peut mémoriser l'exposition d'une photographie à l'autre.
- les passe-vues sont bien construits. 3 passe-vues sont livrés :
un pour les films de 135 en bande de 6 vues, un pour quatre diapos
24x36 et un pour le moyen format, avec caches
- les passe-vues sont du type à plaque de verre, ce qui multiplie
les problèmes de poussière
- en moyen format la résolution est de 3200ppp contre 4000ppp au
Nikon, mais l'auteur ne voit guère la différence au résultat
- la dynamique annoncée est de 4.2, la dynamique réelle est plus
proche de 3,9, en retrait par rapport à celle du Nikon.
- le prix est inférieur de 5000F à celui du Nikon.
Article de Xavier de la Tullaye dans Le Photographe n°1594
L’auteur signe un article élogieux, mettant
en avant les qualités du scanner :
- présence des technologies ASF : ICE s’attaquant au poussière,
repérées par un système infra-rouge – attention cela ne marche
pas avec les films noir et blanc, l’argent métallique étant
aussi opaques aux infra rouges que les poussières ! – ROC,
reconstruction des couleurs pour les vieilles photos délavées
qu’on archiveet GEM qui vise à éliminer le grain).
- possibilité de doter le scanner de passe-vues sans verre
- richesse du logiciel de correction de couleurs qui propose 3 méthodes
d’action ; courbes et histogrammes, avec 3 pipettes (pont
blanc, point noir et gris) et un réglage automatique.
- la qualité du D-Max, annoncé à 4,2 et réellement mesuré à 4
(« la performance est très bonne, puisque le meilleur film du
marché ne fait que frôler 4,00 en D-Max, et encore, pas dans les
trois couleurs)
Au chapitre des faiblesses l’auteur met en avant l’impossibilité
du traitement par lot.
Notre opinion
... a priori, n'ayant pas nous même testé ce
scanner !
Le Nikon est plus cher, mais nous le préférons. La mesure de la dynamique est vraiment trop à
son avantage. Le chiffre de la dynamique (qui doit être le
plus fort possible) garantit d'obtenir des nuances dans les ombres
qui pourraient à défaut se boucher au noir. C'est fondamental pour
la qualité d'une numérisation !
Si on achète ce scanner on l'utilisera en tout état de cause sans
le verre sur les passe-vues (qui amène poussière et anneaux de
Newton).
dernière
modification de cet article : 2001
|