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l'auteur
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Sac Rapalapar Marcel Couturier Présentation généraleSac RAPALA (sac de pêcheur, coût 36 € en 2007 ) Sac assez bien accessoirisé, compartimenté, nombreuses poches. Cependant le portage est moins agréable qu’un sac Vuarde ou montagne. Un peu moins « logeable » qu’un sac Vuarde, pour un encombrement équivalent, il ne permet pas d’emmener autant de matériel et l’accès au matériel est moins ouvert pour la partie haute. Il possède une housse imperméable intégrée. Il est sécable en deux parties ; la partie basse peut accueillir une petite glacière de 6 litres permettant de loger 9 châssis 4X5 (ils souffrent ainsi un peu moins de la chaleur). En se limitant à 4 châssis il est possible d’emporter deux optiques supplémentaires. (Ce qui fait un total dans ce cas de 4 optiques) Les trois poches de la partie basse permettent de ranger les petits accessoires (cellule, déclencheur, allonge de 150 mm, visée binoculaire)
Le sac peut contenir une chambre Sinar F, deux à quatre optiques, des châssis 4X5, une visée binoculaire, et les accessoires nécessaires à la prise de vue. Compartiment du bas avec configurations différentesGlacière 6 litres avec 9 châssis 4x5 :
3 poches permettent d’accueillir le petit matériel (cellule, allonge de banc, visée bino, déclencheur, filtres ………. Option pochette souple avec 4 châssis et deux optiques supplémentaires, ici un 135 et un 210 mm :
Agencement interne pour une Sinar FPour que la chambre soit en repos sur le rail et l’ensemble calé, j’ai retiré les embouts. Ceux-ci sont remplacés par des grosses rondelles, ce qui permet de bloquer latéralement le matériel. Ces rondelles sont retirables de la même manière que les embouts normaux, donc pas de contraintes particulières pour le montage et le démontage.
La F avec montage soufflet grand-angle, une optique, compendium, soufflet arrière et loupe binoculaire tient dans le sac. Le tout reste à demeure ce qui fait que la chambre est vite mise en œuvre.
La structure réalisée en CP 5 mm est suffisamment rigide lorsqu’elle est installée dans le sac, calée dans les joues de celui-ci ; elle est surtout très légère. C’est une réalisation vraiment à la portée de tous avec un outillage basique. Le portage du piedPour les utilisateurs de pieds «modernes» carbone ou autres matériaux la chose est encore plus facile que pour moi : mon pied en bois est plus volumineux et lourd. Le manchon de chambre reste à demeure.
Les sangles sont au nombre de 4. Elles sont munies de boucles rapides, qui permettent une fixation éclair, mais l’usage validera la solidité des coutures. Au bout de 4 ans d’utilisation j’ai déjà réalisé des renforcements car le pied de 3 kg tire pas mal dessus. Pour éviter de trop salir le fond mais aussi pour apporter une meilleure stabilité en pose au sol, j’ai ajouté deux petites lattes en fond de sac :
Les bretelles moussées sont confortables, disons suffisantes au regard de la charge portée, et il existe une sangle de poitrine. Le sac ne présente pas de ceinture ; c'aurait pourtant été un plus pour stabiliser le sac mais aussi ajouter des pochettes latérales. La poignée supérieure est très pratique pour le portage dans les transports en commun ; le sac devient « bagage à main » et peut être posé au sol.
Parlons poidsL’ensemble chambre, accessoires, petit matériel, châssis et deux optiques pèse 9 kg ; si l’on ajoute les 3 kg du pied, c’est un total de 12 kg à porter. Voilà qui laisse encore un peu de marge pour emporter quelques vivres et de quoi boire dans les deux filets latéraux. Je pratique pour ma part surtout la prise de vues urbaine (paysage urbain et architecture) avec cet équipement ; le sac me permet une bonne mobilité et une mise en œuvre rapide. J’effectue mes déplacements à pied, à vélo ou en bus.
dernière mise à jour : 2011
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