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l'auteur

  

Laurent Barthelemy
informaticien, né en 1967
pratique la photo depuis 1982
passé au Grand Format
au début de 2005
avec une Tachihara



laurenth.barthelemy@laposte.net
 

 

Construire sa chambre
est-ce facile, est-ce une bonne idée ?

par Laurent Barthélémy

Introduction

Au départ, nous supposerons que vous êtes intéressé(e) à la photo depuis un bon moment, que vous avez (ou pensez avoir) fait le tour de ce que le 24/36 peut vous apporter. Peut-être, plus simplement, voulez vous tâter d’autre chose, sans renier votre <entrer ici le nom de votre 24/36 préféré>. A force de fréquenter Galerie-Photo, vous commencez à sentir germer en vous l’envie de faire des images en grand format, pour le contrôle des perspectives ou pour le grand négatif… En fait, peu importe, disons que vous souhaitez vous intéresser à autre chose que votre pratique habituelle de la photo. 

Après avoir fait un tour d’horizon du marché, vous êtes arrivé à la conclusion que les chambres sont chères, et que, si l’on compare leur simplicité à la complexité du moindre « Digitruc », le prix semble un tantinet exagéré. Le prix des chambres d’occasion semble déjà plus abordable, mais, encore une fois, finalement assez élevé pour des appareils aussi rustiques. A moins que le démon du bricolage, du « je l’ai fait moi-même », ne vienne vous chatouiller jusque dans votre studio…  

Toujours est-il que vous avez commencé à "surfer" sur la toile, et vous découvrez les sites de quelques fondus qui font leurs appareils eux-mêmes, qui disent que c’est facile, qui éventuellement partagent ou vendent leurs plans… Attention, il est peut-être encore temps de reculer, retournez vite sur Galerie-Photo ! 

Trop tard, vous vous êtes fait prendre ! Les plans sont arrivés hier, dans votre boîte à lettres. Vous les parcourez avidement et dans tous les sens, et cela semble effectivement très faisable ! Vous prenez donc la ferme décision de construire votre chambre grand format, en bois et à l’ancienne.

Approvisionnements

La première tâche qui vous attend, c’est de vous fournir en matériaux (nous supposerons que vous disposez de l’outillage de base du menuisier, que vous savez vous en servir "raisonnablement"). Un tour au magasin de bricolage du coin vous montre qu’il y peut-être "tout ce qu’il faut", mais manifestement ces gens là n’ont pas lu votre liste de courses avant d’affirmer cela ! Le bois de qualité, dans les échantillonnages nécessaires et d’une essence qui vous plaise ne se trouve pas aussi facilement que cela ! Si vous achetez ce que vous trouvez (ne rougissez pas, je n’ai pas procédé autrement !), sachez qu’il va vous falloir choisir ensuite entre transformer l’essentiel de vos emplettes en copeaux et poussière, ou adapter le plan à vos bouts de bois.  

Une fois les matériaux acquis, vous êtes prêt à commencer, du moins si vos plans sont assez précis et si vous savez déjà quels éléments du commerce vous utiliserez pour votre chambre. Au minimum, les châssis viendront de la boutique du coin, il serait donc préférable de les acheter dès maintenant car vous en aurez besoin pour construire le dos aux bonnes dimensions. Si vous souhaitez acheter aussi le soufflet, essayez de le trouver dès maintenant, vous éviterez des adaptations difficiles plus tard (à titre indicatif, les plans de Jon Grepstad mentionnent un encastrement de soufflet de 160 mm au carré, précisent qu’un soufflet Cambo fait 162 mm, mais ne parlent pas du nécessaire jeu fonctionnel nécessaire, ni de l’ouverture centrale du soufflet, avec sa chicane d’étanchéité à la lumière. Si j’avais eu ce soufflet dès le début, alors j’aurais adapté les corps pour un encastrement plus serré de cette chicane.) 

Il est également temps de décider si vous utiliserez des planchettes porte objectif "maison", ou si vous les achèterez toutes faites. Dans le second cas, il serait judicieux d'en acquérir au moins une au standard qui vous intéresse, ou de vous en faire prêter une le temps de prendre quelques mesures. (Tout comme pour le soufflet, si j'avais eu une planchette Sinar dès le début de ma construction, je n'aurais pas "ruiné" un corps avant presque fini en voulant y pratiquer l'entaille nécessaire au passage de la lèvre de la planchette). 

Si vous avez tous les éléments que vous comptez acheter, si leurs dimensions sont celles prévues au plan, et si vous avez trouvé les pièces de bois dans les dimensions proposées par le plan, vous être prêt à commencer la construction. Dans le cas contraire (surtout si les échantillonnages de bois ne sont pas ceux prévus), il est hautement préférable de redessiner les parties du plan qui vont être affectées par les changements, ce qui vous évitera des erreurs funestes. Ce qui est critique en l'occurrence, c'est surtout de vous assurer que les dimensions de pièces qui doivent être collées ensemble ou qui doivent s'ajuster étroitement soient toujours d'actualité. Dans le cas contraire, l'étanchéité à la lumière de votre chambre risque d'en pâtir sérieusement. 

Les pièces les plus délicates à construire ont été, dans mon expérience, les blocs de support des standards, qui ont finalement été réalisés en métal car le bois ne me satisfaisait pas pleinement. Le dos spring back n'a pas été une difficulté majeure, même s'il est préférable d'ajuster toutes les pièces "à blanc" autour d'un châssis standard.

Les points délicats

Les points délicats que j’ai rencontrés dans la construction d’une chambre en chêne ont été essentiellement dus aux changements des échantillonnages sans avoir redessiné tous les plans, et au fait que j’ai fait les standards en bois et non en métal + bois comme sur les plans d’origine. 

Les changements de dimensions des pièces de bois utilisées par rapport aux plans de Jon Grepstad m’ont conduit dans un premier temps à essayer de parvenir aux mêmes dimensions que les siennes, en utilisant la défonceuse pour « extraire » de pièces brutes les mêmes profils que les profils composites obtenus en collant des pièces plus petites. Dans un bois comme le chêne, dont le grain est relativement grossier, cela cause beaucoup de soucis car le bois éclate facilement dès que l’on descend dans les dimensions, et l’on rencontre en plus les problèmes de guidage de la défonceuse sur ces pièces de petites dimensions (je n’avais alors pas réalisé de table pour la défonceuse, ce qui aurait pu régler une partie des problèmes). J’ai dont redessiné les corps pour les adapter aux échantillonnages utilisés, le but étant de retirer le moins de matière possible pour obtenir les ajustements. J’en ai profité pour recalculer les dimensions en fonction du soufflet Cambo et de la planchette Sinar que j’utilise. Les corps sont construits en tasseaux d’épaisseur 9, le soufflet a un cadre de 162, je me suis réservé 2 mm de jeu donc cela donne une dimension externe des corps de 162 + 2 + 2 X 9 = 182.  

Dessin des corps avant et arrière en coupe :


Coupe corps avant


Coupe corps arrière

Dans les tasseaux du corps arrière, j’ai pratiqué une entaille de 9 mm de large et de 4 de profondeur, destinée à accueillir la feuillure du dos. A la réflexion, je pense que j’aurais pu me passer de cette rainure, dans la mesure où il suffisait d’ajuster les dimensions du dos en conséquence.  

Pour les deux corps, les quatre tasseaux sont coupés d’onglet à 45°, l’ajustement précis de l’angle et de la longueur ont été faits en reprenant à la défonceuse les quatre pièces en même temps (les pièces sont collées au double face sur une pièce de médium) avec une fraise à 45° et un té de guidage. Ils sont collés ensemble et sur un carré de contreplaqué de 8mm qui les consolide et forme la trappe à lumière. Ce carré aurait été mieux ajusté si j’avais disposé du soufflet plus tôt afin que son évidement central soit adapté à la lèvre du souffle Cambo (une ouverture centrale de 120 mm au carré accueillerait exactement la lèvre d’étanchéité du soufflet). Ce n’est pas forcément critique, mais cela serait sans aucun doute plus satisfaisant.  

D’ailleurs, si les choses étaient à refaire, je pense que j’utiliserais plutôt un contreplaqué « marine » de 4 mm (vendu en magasin de modélisme) et que j’aurais pratiqué une rainure dans les tasseaux pour encastrer ce contreplaqué et rendre le collage plus solide et l’étanchéité à la lumière meilleure.


proposition de corps avec CTP4

 

L’assemblage des corps doit se faire en assurant leur planéité, ainsi que leur géométrie. Pour la géométrie (garantir que le carré n’est pas un losange), le plus simple est de mesure les diagonales, en déformant l’ensemble pour assurer leur égalité. Pour la planéité, le plus simple est de poser l’ensemble sur une coin d’établi bien plan (pensez à le protéger contre les coulures de colle) et de poser un poids sur l’ensemble.  Les collages ont été faits à la colle époxy (Araldite 30 minutes), parfois Polyuréthanne (mais l'expansion de la colle n'est pas réellement utile pour cette application et sa faible cohésion plutôt un handicap, et à l'occasion vinylique (colle blanche de menuisier, dans sa version "rapide"). Si c'était à refaire, je pense que l'époxy serait la seule colle utilisée, car elle cumule tous les avantages des autres et ajoute les siens propres.


Photo : collage en cours

 

Le dos est construit autour d’un carré de contreplaqué de 8mm récupéré (pas très joli d’ailleurs, un CTP de 4mm « marine » serait préférable et plus discret, ou alors une construction en pièces massives collées bord à bord, la rigidité serait suffisante en raison des pièces de la trappe à lumière et de celles accueillant le châssis). La trappe à lumière est faite de quatre tasseaux assemblés d’onglet et aux dimensions intérieures de la feuillure du corps arrière.  

La rainure de calage du châssis (destinée à accueillir la trappe à lumière du châssis) a été faite sur le contreplaqué avant toute autre opération, avec une fraise de 3 mm et deux butées de longueur. L’ouverture de 4 X 5 pouces se fait à la défonceuse avec la même fraise et en utilisant quatre règles pour guider la machine. Le réglage est plus long que l’usinage, même si on ne découpe pas toute l’épaisseur en une seule passe, mais le résultat est finalement satisfaisant.


Photo : montage de guidage de la défonceuse

 

Les pièces métalliques de la chambre proprement dite ne posent pas de problèmes particuliers, si du moins vous prenez la précaution d’utiliser un étau et des cales pour les pliages. Attention, le laiton ne supportera pas d’être déplié si un pliage est raté… Il vaut mieux vérifier avant de plier. On évite les marques et interposant un petit morceau de bois dur entre le marteau et la pièce et des mors doux (un bout de cornière aluminium ou de « nez de marche » du même métal fonctionne très bien, ne coûte pas cher, et peut se changer quand il est trop fatigué). La finition se fait avec un peu de papier de verre très fin (400 ou plus fin) puis de la pâte à polir ou, pour les plus fainéants, avec un feutre à polir monté sur une petite perceuse. 

Le mécanisme « spring back » est réalisé conformément au plan, le porte dépoli est construit autour d’un contreplaqué de 4 et de cales d’épaisseur en laiton de 8/10°, l’ensemble donnant la cote de distance entre le plan d’appui du porte dépoli et la face du verre égale à la distance plan d’appui du châssis et plan du film. Il reste nécessaire de contrôler cette cote avant d’espérer avoir une photo nette. 

Les ressorts de rappel du dépoli, qui servent en même temps de ressorts d’appui du châssis, sont pris dans les « baleines » en inox de vieux balais d’essuie-glace, mais je dois encore revoir cette partie de la conception, car les ressorts ne sont pas assez puissants à mon goût et laissent de plus glisser le porte dépoli.


le dos spring back (montrant les limitations)


 

On voit bien sur la photo avec un châssis engagé que les ressorts arrivent en limite de leur capacité.

Un mécanisme comme sur ma Tachihara serait sans doute beaucoup mieux, mais un peu plus complexe à réaliser.

 
mécanisme Tachihara

 

Enfin, les finitions des pièces en bois ont été faites avec un ponçage au papier de verre fin (220 ou 400) et une couche de vitrificateur à parquets (recette essayée sur des bateaux modèle réduits navigants, sans aucun souci sur le long terme).


la première photo !

Conclusion

Du point de vue du budget, la construction d'une chambre en bois ne peut être que difficilement rentable (sauf peut-être si vous êtes décidé à tout faire vous-même, y compris le soufflet qui est un poste de dépense majeur). Ma chambre m'est revenue à un peu plus de 200 € sans optique et sans châssis, ce qui m'aurait permis de m'offrir une Cambo d'occasion pour un prix à peu près similaire.

Objet

Prix

%

Commentaires

Inserts

6,00 €

1%

Pour au moins 2 constructions.

Laiton

10,00 €

2%

Estimation, je n'ai pas eu à tout acheter car j'avais du stock.

Boutons filetés

10,00 €

2%

Pour au moins 2 constructions.

Visserie

15,00 €

3%

Estimé

Contreplaqué

16,00 €

4%

Pour au moins 4 planchettes de 140 X 140 en Ctp de 4. Le Ctp de 8 a été récupéré

Dépoli

20,00 €

4%

D'occasion

Bois

30,00 €

7%

Pourrait être 15 €, la différence est en sciure et en bois pour le barbecue.

Plans

30,00 €

7%

Commandés à Jon Grepstad

Châssis

50,00 €

11%

D'occasion

Soufflet

108,00 €

24%

D'occasion. Soufflet Cambo en parfait état

Optique

150,00 €

34%

Xenar 210 sur Compoound, avec une planchette Sinar.

Total

445,00 €

100%

 

Si l'on inclut dans ce prix de revient les outils éventuellement nécessaires (une défonceuse "de base" vaut 75€, un modèle de qualité 200 et plus), le bilan penche même franchement du côté d'un achat d'occasion.

Du point de vue du temps passé, le temps de construction ne sera pas consacré à la photo… Ceci est à tempérer par le fait que, en fonction de votre situation personnelle, ce temps ne sera pas forcément pris sur le temps consacré à la photo (les jours pluvieux, ou les soirées d'hiver peuvent être rentabilisés)

Reste que l'aventure peut vous tenter pour le plaisir de faire quelque chose de différent, pour la fierté du " je l'ai fait moi même".


test springback

Les principes adoptés dans le plan de Jon Grepstad sont bons, même si des adaptations peuvent être nécessaires en fonction des pièces que vous vous procurerez. En particulier les "connecteurs de corps" qui séparent bien les corps avant et arrière de leur support et peuvent éviter des déboires si un perçage n'était pas exactement réalisé à la bonne position ou avec un angle qui ne soit pas parfaitement perpendiculaire au corps.

La chambre ainsi réalisée est utilisable, même si les mouvements sont un peu "basiques" (le réglage bascule/décentrement n'est pas séparé, donc il faut un peu de doigté pour les ajuster proprement). Le dos ne me satisfait pas pleinement, car le porte dépoli a tendance à sortir de ses ressorts, et à coincer un peu lors du retrait du châssis. Un petit ponçage des côtés devrait suffire, en ajoutant un "poil" de jeu. L'étanchéité à la lumière est bonne, le soufflet Cambo y est pour beaucoup.

Si c'était à refaire, je simplifierais le dos pour rapprocher cela d'une "Misura". Je conserverais probablement les décentrements verticaux à l'arrière, essentiellement parce que cela permet de simplifier le rangement (une alternative serait d'avoir des corps avant et arrière dissymétriques et  un soufflet pyramidal, afin de permettre de décentrer le corps avant vers le bas pour remplacer l'absence de décentrement arrière).


détail du corps arrière

Les bonnes adresses

Informations

Le site de Jon Grepstad (en Anglais, avec des références vers d’autres sites utiles) : http://home.online.no/~gjon/

Un site sur la construction d’une chambre 8/10 :
http://www.artm-friends.at/rm/foto/lf-cameras.php

Fournisseurs

(Ci-dessous les fournisseurs que j’utilise pour mes emplettes, publicité gratuite)

L'Octant : laiton, visserie laiton et inox, tarauds inhabituels (1/4 de pouce pas Kodak entre autres). 17 rue du Printemps, BP21005, 67451 Mundolsheim Cedex. Le catalogue est vendu quelques Euros.

Otelo (catalogue gratuit, pas de minimum de commande mais participation aux frais en dessous d'un seuil) : boutons à vis, outils pour le métal. www.otelo.fr

HM diffusion : outillage à bois de haut de gamme. Catalogue gratuit sur demande : www.hmdiffusion.fr

A Paris, fournisseurs de métaux sous différentes formes, outillage pour métaux, quincaillerie…

 Tartaix, 13, rue du Pont aux choux / Paris 3ème
Weber Metaux : 9, rue du Poitou /  Paris 3ème

L’outillage

Je ne mentionne que ce qui ne fait pas forcément partie de la boîte à outils du bricoleur, ou ce qui mérite un commentaire.

Indispensables

- Des serre-joints : autant que possible, empruntez-en quelques uns au besoin.

- Une presse pour cadres (même un modèle économique) pour serrer correctement les pièces à assembler d’équerre. (A noter que cela s’applique aussi aux standards si vous remplacez le côté manquant par une cale de la bonne longueur).

- Une scie à onglets. Idéalement une scie d’encadreur, mais le prix peut faire frémir. Evitez les modèles économiques qui ne couperont pas droit. On peut s’en passer si l’on a une défonceuse.

- Un (des) bon(s) tournevis : si votre visserie est en laiton, oubliez la visseuse électrique. Si une vis casse dans une pièce presque finie, c’est dur pour le moral. Pour éviter cela, utilisez un tournevis à main, faites un avant trou, vissez d’abord une vis en acier de la même taille que la vis finale, et pensez à suiffer chaque vis.

- Un bon ciseau à bois bien affûté, pour retirer les bavures de colle essentiellement.

Utiles

- Une défonceuse : outil merveilleux, précis, doux… Peut remplacer toutes les scies du monde, la boîte à recaler, le rabot…

- Quelques fraises : au moins une droite de petite taille (pour la rainure de la trappe à lumière du dos, et l’ouverture de dos) et une à 45° pour ajuster les coupes d’onglet.

- Des tés de guidage pour la défonceuse : à faire vous-même, c’est fou tout ce que l’on peut faire avec.

- Une table de défonceuse : à faire vous-même (voir bibliographie), cela vous simplifiera grandement la vie pour les petites pièces. 

Bibliographie

La défonceuse : Tome 1 de Bruno Meyer

Langue : Français Éditeur : Martin Média (1 décembre 2003)
Collection : Les guides d'atelier Format :
Broché - 80 pages ISBN : 2911616928
Dimensions (en cm) : 21 x 1 x 21

 

La défonceuse : Tome 2 de Bruno Meyer

Langue : Français
Éditeur : Bricodif (1 mars 2004)
Collection : Les guides d'atelier
Format : Broché - 80 pages
ISBN : 2907769073
Dimensions (en cm) : 21 x 1 x 21

Travaux à la défonceuse

de Jackson et Day
Langue : Français
Éditeur : Maison rustique (14 janvier 1999)
Collection : Les Guides du bois
Format : Relié - 128 pages
ISBN : 2706606282
Dimensions (en cm) : 2 x 19 x 27

 

et aussi...
La défonceuse montée en fixe
Bruno Meyer
Editions de la Canopée
ISBN 2-9517093-0-7
 

Building a large format camera / Jon Grepstad

 

 

dernière mise à jour : octobre 2005

 

     

 

tous les textes sont publiés sous l'entière responsabilité de leurs auteurs
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